Interdiction mining Maroc : Ce que ça change pour les mineurs et la blockchain
Interdiction mining Maroc, l’interdiction officielle du minage de cryptomonnaies au Maroc depuis 2022. Also known as blocage du minage crypto, it a été imposée pour protéger le réseau électrique national face à une consommation galopante, surtout dans les zones rurales où les mineurs installaient des fermes clandestines. Ce n’était pas une simple mesure technique : c’était une réaction à une crise énergétique réelle. Des foyers entiers se retrouvaient sans électricité pendant des heures, tandis que des groupes privés utilisaient des générateurs diesel ou volaient du courant pour faire tourner des centaines de cartes GPU. Le gouvernement n’a pas attendu les rapports de l’IEA pour agir : il a vu les compteurs tourner à toute vitesse et a coupé le robinet.
Le minage crypto Maroc, l’activité de validation des transactions blockchain via des équipements informatiques au Maroc n’a jamais été légalisé, mais il a explosé en 2021, surtout sur les réseaux comme Ethereum et Bitcoin. Les mineurs locaux utilisaient des machines achetées à l’étranger, parfois avec des cartes d’identité volées pour passer les douanes. Les autorités ont réagi avec des perquisitions, des saisies de matériel, et des amendes lourdes. Ce qui est frappant, c’est que la régulation crypto Maroc, le cadre juridique qui encadre les activités liées aux cryptomonnaies au Maroc n’a jamais été clairement définie — mais l’interdiction du minage, elle, était sans ambiguïté. La Banque Centrale a même averti les banques de ne pas traiter les transactions liées à l’achat de matériel de minage.
Les outils de forensique blockchain, l’analyse des transactions sur la blockchain pour traquer les activités illégales ont joué un rôle clé. Des entreprises comme Elliptic et TRM Labs ont aidé les autorités marocaines à identifier les adresses liées à des mines clandestines. Les transactions vers des exchanges non régulés, les transferts massifs vers des portefeuilles anonymes, les paiements en USDT pour des équipements — tout ça a été traqué. Ce n’est pas de la science-fiction : c’est ce qui a permis de fermer une ferme de 300 cartes dans une ville du sud du Maroc en 2023.
Le énergie minage crypto, la consommation électrique nécessaire pour faire tourner les machines de minage est le vrai cœur du problème. Un seul ASIC Bitcoin consomme autant qu’un ménage entier. Au Maroc, où l’électricité est subventionnée, le gaspillage a été criant. Les mineurs ne payaient pas les factures, mais les citoyens, eux, ont dû payer la note. Certains ont même débranché leurs compteurs pour alimenter des fermes illégales. La réponse du gouvernement a été brutale : interdire, saisir, punir. Rien de plus.
Et aujourd’hui ? Le minage n’a pas disparu — il est juste devenu plus difficile. Certains ont migré vers des pays voisins, d’autres ont changé de stratégie : ils se tournent vers les airdrops, les staking légaux, ou les projets blockchain sans minage. Les entreprises qui vendaient des équipements ont fermé. Les forums de mineurs ont été supprimés. Mais les discussions sur la blockchain, elles, continuent. Parce que la technologie, elle, n’est pas interdite. Seul le minage l’est.
Voici ce que vous trouverez ici : des analyses concrètes sur les arnaques qui ont prospéré après l’interdiction, les faux airdrops qui ciblent les anciens mineurs, les plateformes qui prétendent être légales alors qu’elles ne le sont pas, et les vraies alternatives pour participer à la blockchain sans toucher une seule carte graphique. Pas de théorie. Pas de promesses. Juste ce qui s’est vraiment passé, et ce qui reste possible.
Violations de change étranger liées aux cryptomonnaies au Maroc en 2025
En 2025, le Maroc autorise les cryptomonnaies uniquement sous contrôle strict. Les violations de change étranger restent sévèrement sanctionnées, avec des amendes jusqu'à 500 000 MAD. Le minage est toujours interdit, et le e-Dirham est la réponse officielle à la demande de finance numérique.
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